Jean-Christophe Rufin est de cette trempe d’hommes dont il faudrait plus au pouvoir et moins à l’académie française. Dans Libé il a brossé un portrait de Guéant assez vitriolé :
« En voilà un qui a dû faire plaisir à maman quand il était petit. Tout est bien rangé chez lui, mais il n’en peut plus dès qu’il voit arriver un semi-truand en Maserati qui lui raconte ses folles nuits avec des filles à 5000 euros. »
Pas étonnant que Guéant détienne les clés de tant de prévarications, Bourgi est un fantasme pour lui.